Demander l’impossible.com de Irène Cohen-Janca.

Cette histoire m’a particulièrement plu .
Antonin est le personnage principal de cette histoire.Au départ,c’est un enfant comme les autres mais au fur et à mesure que l’histoire avance,ce petit garçon va vivre des épreuves assez dures.
J’ai compris à travers cette histoire,ce que l’on peut ressentir quand une personne qui nous est très proche tombe malade.
Quand on lit ce roman,on n’a pas envie d’arrêter la lecture.On veut connaître toujours la suite.Ce livre était facile à lire.C’est une histoire qui m’a donné à réfléchir sur les problèmes que peut provoquer une maladie et ce que l’entourage et le malade vont vivre.J’ai été ému par les rapports qu’avait Antonin avec sa sœur puisqu’elle ne voulait pas voir ses parents.Quand il lui rendait visite à l’hôpital,on avait l’impression qu’il remplaçait les parents.En effet,il a rencontré le psychiatre,il a tenu compte des recommandations de celui-ci parce que sinon,les visites lui seraient supprimées.En peu de temps,Antonin a pris les responsabilités d’un adulte et il ne veut pas décevoir les médecins.

J’ai aimé ce livre car j’ai trouvé qu’on pouvait se mettre à la place de certains personnages. Le fait qu’Antonin s’adresse à un Sdf comme cela n’arrive pas forcément dans la vie de tous les jours.
Seul inconvénient, je n’ai pas trouvé de rapport entre le titre du livre et l’histoire.
Le moment où sa soeur se retrouve à l’hopital est assez émouvant, et le rapport frère- soeur qu’ont Antonin et Emma est assez surprenant car on ne s’y attend pas et je trouve cela beau, car ils sont trés complices.

Je suis assez mitigée sur cette lecture. J’ai aimé le personnage d’Antonin, volontaire et en même temps timide sur les choses de l’amour. Il regarde sa vie, essaye de la disséquer pour comprendre où elle lui échappe. Il a aussi beaucoup d’humour ce qui fait du bien dans ce roman où les thématiques assez sombres sont abordées.
En effet, en tant que lecteur on comprend vite ce que les parents d’Antonin refusent de voir : sa sœur se prive de nourriture. Elle veut contrôler son corps comme elle contrôle le reste de sa vie. C’est finalement Antonin qui mettra les pieds dans le plat et dénoncera l’attitude de ses parents.
Pour le reste du roman, j’ai eu du mal à y trouver de l’intérêt. Antonin est loin d’être bête. Il se pose des questions sur le style de vie de ses parents, de son oncle et aussi de ce clochard en face de chez lui. Cet homme va devenir une obsession, à tel point qu’Antonin va essayer de s’identifier à lui par ses lectures (Le lion de J. Kessel).