Je pense que  « Les Carcérales » est un livre intéressant, qui nous plonge dans l’univers de la justice, de l’incarcération …

J’ai beaucoup aimé ce livre, le style de l’auteur, (rythme saccadé et phrases courtes) est je suppose, approprié à la situation. Les personnages sont intéressants, attachants par moments, le fait de vivre les épreuves en compagnie de Rodrigues, le héros de l’histoire, m’a fait prendre parti; en le lisant je ressentais comme le besoin d’aller le défendre à la barre, parce que j’ai moi même assisté à l’erreur judiciaire considérée comme crime.

Le déroulement de l’intrigue peut s’avérer long, parfois, c’est vrai, mais je pense que c’est voulu car, comme le héros, nous sommes censés attendre, attendre et attendre encore le verdict final.

Pour finir, j’ai été impressionnée en lisant les remerciements de l’auteur, d’apprendre qu’elle est complètement étrangère à l’univers de son livre !!!

J’ai détesté ce livre qui, de la première à la dernière page, n’a su m’intéresser à aucun moment. Non content d’avoir créé des personnages caricaturaux et déjà-vus, l’auteur ne cesse de rabâcher leur description et de vanter leurs multiples qualités. L’intrigue n’a aucun sens : le héros part dans un périple extrêmement dangereux pour retrouver Léa, la fille qu’il dira finalement avoir aimé comme une « icône », puisqu’en réalité il est amoureux depuis toujours d’une de ses compagnes de voyage -laquelle se désespérait justement de le savoir amoureux de Léa pendant tout le livre. L’univers de départ, plutôt intéressant bien que les pins-vampires soient un peu tirés par les cheveux, se perd finalement en gourou maléfique, super-pouvoirs et orques mutantes. Quant au style mélodramatique, avec les inversions des adjectifs et des noms et les métaphores clichés qui ne cessent de revenir, il n’a pas réussi à me captiver plus que le reste.

Lorsque j’ai commencé à lire ce livre j’ai été emportée par l’histoire qui me paraissait réelle. Elle traite d’un sujet délicat. La façon d’écrire qu’a l’auteur est telle que l’on arrive à s’identifier à certains personnages. Le cadre est bien posé et tout est mis en œuvre pour être dans la tête du jeune homme accusé de viol. Certains passages sont violents ou même « osés » et c’est choquant dans cette lecture mais ça nous amène à ouvrir les yeux sur ce qu’on ne pourrait imaginer et qui est pourtant la réalité. Et j’ai toujours eu l’envie de passer à la page suivante.

Je trouve que le dernier hiver est un livre entraînant. Au fil du livre j’ai ressenti toutes sortes d’émotions car l’auteur arrive à mélanger amour, peur et suspense. Les personnages sont intrigants ; leurs caractères sont variés et tous intéressants. Le décor ne correspond   pas à ma vision de la fin du monde, cependant, j’ai éprouvé du plaisir à découvrir celui qu’a choisi l’écrivain. L’intrigue est assez subtile, pourtant à la fin, lorsque j’ai fermé le livre, tout était clair dans ma tête.

J’ai beaucoup apprécié ce livre car c’est un ouvrage à la fois dramatique, triste et entraînant. C’est un récit bien raconté, on peut facilement s’imaginer les scènes, les personnages ou leurs émotions.En fonction des circonstances dans lesquelles les personnages se trouvent, ils ne manquent pas de courage et de combativité. L’histoire est bien construite, elle ne manque pas de suspense et de péripéties inattendues .

Je trouve que ce livre est très bien, émouvant et à la fois triste. Je trouve que ce qu’ont fait ces jeunes est très bien. Accompagner un ami et à la fois un frère, pour aller retrouver celle qu’il aime est très courageux, surtout dans ces circonstances là. On peut bien se mettre dans la peau des personnages. Dès le début on sait que l’épreuve va être dure mais qu’ils ne lâcheront rien et iront jusqu’au bout pour aider leur ami.